Énormément de femmes vues pour leur « non fertilité » après quelques mois ou quelques années d’essais infructueux de grossesse vont être dirigées vers la PMA-Fivette...
Toutes les causes de non fertilité n’ont pas été investiguées ni prises en compte. Ces techniques médicales peuvent être lourdes, contraignantes mais également très onéreuses. Le succès est loin d’être assuré.
Avant de consulter pour procréation médicalement assistée, il est bon de s’intéresser aux œstrogènes et au taux de progestérone
Des taux optimaux œstrogènes au moment de l’ovulation vont rendre possible la fertilisation de l’ovocyte et une fois l’ovocyte fertilisé une progestérone adéquate permettra son implantation au niveau de l’utérus et la poursuite fructueuse de la grossesse.
La supplémentation en œstrogènes et progestérone en cas d’insuffisance hormonale résoudra de nombreux problèmes de fertilité.
On voit d’ailleurs assez souvent ces insuffisances ovariennes chez des patientes sportives, musclées, avec peu de graisse.
Progestérone > 20 à 30 nmmol/l ou 6 à 9 ng/m 7 jours avant les règles ; prouve l'ovulation
Les dosages hormonaux basiques comme l’oestradiol et la progestérone n’ont pas été faits ou si peu, ou pas au bon moment du cycle...
Signes de manque d’œstrogènes :
- muscles du ventre relâchés,
- affaiblissement, baisse de vitalité,
- force musculaire en diminution,
- baisse de mémoire,
- bouffées de chaleur,
- sueur abondante,
- cycles menstruels trop courts,
- muqueuse sèche au niveau de la bouche, des yeux, du vagin,
- hyper émotivité, nervosité irritabilité, déprime avant les règles et irritabilité avant les règles (syndrome prémenstruel), diminution taille soutient gorge
Signes de manque de progestérone :
- anxiété, irritabilité avant les règles,
- bas ventre gonflé avant les règles, syndrome pré menstruel…
Prise de sang à faire entre le 18 ème et le 22 ème jour du cycle afin de mesurer les taux d’œstradiol et de progestérone.
Hypofertilité si FSH , entre J3 et J5 entre 11,4 et 15 m UI/ml même si test de grossesse +
Dosage Prolactine, à doser l'après-midi, après 20 minutes de repos au laboratoire, pour les femmes loin de l'ovulation (à faire pendant ou après les règles). Attention aux excès sportifs. Loin de la prise de café, cannabis, thé, stress.
Si dosage élevé ; demander chromatographie de la prolactine plasmatique et recherche des formes moléculaires de la prolactine. Les formes bib big et dimères sont des artéfacts, seule la forme monomère représente la forme active .
La 2ème cause la plus fréquente d’hypofertilité est l’hypothyroïdie
Se baser sur une TSH comprise entre 0.5 et 4.5 pour dire qu’une patiente est ou pas hypothyroïdienne est une erreur médicale grave.
On doit viser une TSH <1.5 et une T3 libre au-dessus de 5.2 pmo/L … et encore…. en cas de résistance des récepteurs nucléaires aux hormones thyroïdiennes par manque de vitamine D et A, par manque d’oméga 3 ou encore en cas de dysbiose intestinale, la patiente peut être quand même hypothyroïdienne. Il faut aussi contrôler la T3 reverse et la T3 des 24 heures dans les urines et la iodurie des 24 heures
Il faut se baser aussi sur les signes cliniques et traiter l’hypothyroïdie fruste jusqu’à disparition des signes cliniques (frilosité, fatigue matinale, température matinale < 36°,2, constipation, difficile à gérer son poids, lenteur de digestion, hypercholestérolémie à LDL, fausses couches à répétition…)
Attention aux hypothyroïdies frustes sous diagnostiquées !
Le manque de vitamines B9 et B12, hyperhomocystéinémie sont également des causes d’hypothyroïdie.
- B12 (méthylcobalamine) normes hautes 50 à 150 pg/ml
- B9 (méthyl tetrahydrofolate) 10 à 25 ng/ml
- MTHF à associer à la B9 et dosage MTHF Réductase à ne pas oublier
- Vitamine B12: (cyanocobalamine , méthylcobalamine) 80-90% de carence dans la population . Il faut impérativement être aux normes hautes.
La déficience est sévère si prise d’IPP (inhibiteurs de la pompe à protons, anti acides) : non sécrétion du facteur intrinsèque (FI) par les cellules sécrétant l’acide chlorhydrique de l’estomac. Lorsque le facteur intrinsèque diminue avec l’âge, non seulement l’alimentation (œufs, poissons, viandes) n’est plus suffisante, mais la complémentation classique ne fonctionne plus et il faut se diriger vers les formes injectables sous cutanées ou activées par voie sublinguale.
L’homocystéine doit être inférieure à 8
Le zinc, trop souvent négligé !
Une autre cause (négligée des gynéco) est le manque de zinc, celui-ci doit être supérieur à 100 µg/dl, jamais se contenter des normes basses du laboratoire.
En cas de déficience en zinc :
- retard de croissance,
- retard de cicatrisation,
- vergetures, acné,
- féminisation de l’adulte,
- aromatisation et manque de synthèse de la testostérone,
- hypofertilité, fausses couches,
- baisse de libido peau sèche
- et éventuellement des problèmes avec les cheveux,
- perte de goût, d’odorat
- manque de synthèse de certaines hormones, surtout testostérone et hormone de croissance.
- Troubles de la spermatogénèse.
L'importance du sulfate de DHEA
Le sulfate de DHEA est aussi à doser et adapter aux normes de 35/40 ans.
Signes :
- affaiblissement,
- baisse de vitalité,
- cheveux secs,
- dépression,
- douleurs musculaires, muscles relâchés au niveau du ventre,
- nervosité,
- peau sèche,
- sècheresse oculaire,
- baisse de la libido
Autre cause d'infertilité, l'inflammation liée à l’absorption de gluten
Une cause largement méconnue des gynécologues est le gluten …
Via l’inflammation intestinale, production de cytokines par les globules blancs de la paroi, ces cytokines vont bloquer les récepteurs hormonaux en particulier … aux oestrogènes et à la progestérone, à l’insuline : diabète type II, aux neurotransmetteurs : dépression fatigue troubles de l’attention, baisse de libido.
Ne pas se contenter du dosage des Ac antitransglutaminases (maladie coeliaque). Nous sommes tous plus ou moins intolérants actuellement au gluten (perturbateurs endocriniens, pollution, hautes températures de cuisson, OGM …)
Des études ont montré que les femmes souffrant d’intolérance au gluten avaient un risque plus élevé d’être confrontées à des difficultés de procréation.
Dans cette nouvelle étude parue dans la revue Human Reproduction Update, les auteurs ont effectué une analyse des études épidémiologiques. Ils rapportent que les patientes ayant des problèmes de reproduction ont un risque plus élevé d'être diagnostiquées intolérantes au gluten que la population générale.
Inversement, les patientes déjà diagnostiquées pour intolérance au gluten ont un risque plus élevé de fausses couches, retard de croissance.
Chez les femmes déjà diagnostiquées intolérantes au gluten, les risques de fausse couche, de retard de croissance intra-utérin, de faible poids de naissance et de naissance prématurée sont respectivement augmentés de 39%, 54%, 75% et 37% par rapport à la population générale. Les risques sont fortement diminués par l’adoption d’un régime sans gluten.
Des hypothèses ont été proposées pour expliquer les troubles de la reproduction chez les patientes intolérantes au gluten. Elles sont basées soit sur des carences nutritives, soit sur des mécanismes d’auto immunité intra-utérin et naissance prématurée.
Coenzyme Q10 et infertilité
Un coenzyme Q10 bas est également une cause de non fertilité :
dysfonctionnement des mitochondries qui produisent l’ATP (adénosine triphosphate) nécessaire à l’énergie et au développement cellulaire.
C’est un antioxydant, un anticancéreux et permet au sein des mitochondries la transformation des aliments, sucres, graisse et protéines en ATP et a pour cela besoin d’un taux optimal d’hormones thyroïdiennes T3, de cortisol, d’oméga 3, ribose, magnésium, mélatonine, carnitine , etc…
Sa synthèse est inhibée par la prise de statines, ce qui explique les douleurs musculaires, la fatigue, l’augmentation du risque carcinologique.
De l'importance de la Vitamine D
Vitamine D :
On attend des taux de 25OHD3 supérieurs à 60 ng/l. Impératif
Le Syndrome SOPK : ovaires micro poly-kystiques
Syndrome SOPK : ovaires micro poly kystiques
fortement associé à une carence en oméga 3. Il faut dépister une intolérance à l’insuline (pré diabète) ; glycémie/insuline = index de HOMA qui doit être <2,5.
Dépister une stéatose hépatique et surveiller les indices insuliniques des aliments
Autre apport nécessaire : les omégas 3
Signes de manque en omégas 3 :
- sécheresse oculaire,
- peau sèche,
- prise de poids.
Manger du poisson gras de type : maquereau flétan, sardines 4-5 fois par semaine et ajouter des huiles omégas 3 de type lin colza, noix, noisettes, Krill, chanvre…
Avoir un statut en oméga3 suffisant afin que les récepteurs postsynaptiques ne soit pas bloqués par des parois cellulaires trop rigides
Apports protéinés le matin !
Sans protéines au repas du matin, pas de tyrosine et pas de tryptophane et donc impossibilité de générer les neurotransmetteurs sérotonine dopamine adrénaline noradrénaline mélatonine.
Manger 2 œufs bio coques tous les matins est une bonne habitude
Le manque de sérotonine donne des troubles du sommeil des troubles du comportement alimentaire avec un besoin de sucre en fin de journée, réactions émotionnelles, de l’irritabilité, de l’anxiété, de l’impatience.
- Si manque de sérotonine cérébrale, manque également de mélatonine avec diminution ou absence des rêves et réveils fréquents.
- Manque en dopamine cérébrale : baisse de concentration, perte de mémoire à court terme
- Manque en noradrénaline cérébrale ; difficulté d’apprentissage, le fonctionnement au ralenti et la fatigue morale et physique.
Il est nécessaire d’avoir des cofacteurs pour permettre la synthèse des neuromédiateurs :
Dopamine (plaisir de la vie, libido), Noradrénaline (la forme et l’énergie) via la tyrosine que l’on trouve dans les protéines du matin et la sérotonine (absence de symptôme dépressif) via le tryptophane : B9, B12, Magnésium, vitamine D, zinc, sélénium, vitamine A.
Un bilan biologique des neuromédiateurs peut être utile.
Du bon fonctionnement de l'intestin, pas de dysbiose intestinale
Pas de dysbiose intestinale afin de ne pas bloquer une nouvelle fois ses récepteurs postsynaptiques.
L'intestin doit fonctionner en fermentation et non en putréfaction
Afin de faire monter la sérotonine plus rapidement ; Brain actif (ou autres) qui est composé de Théanine précurseur du Gaba, Safran, 5HTP, Griffonia Rhodiola et également du LTyro B6 ou Serocontrol® 4 cp vers 16/17h ou en barre chocolatée 2 à 3 comprimés 20 minutes avant le petit déjeuner afin de faire monter la Dopamine et Noradrénaline plus rapidement (Dopacontrol® en cp ou barre chocolatée)
A midi manger des crudités, de la viande blanche, fromage et fruits.
Rappel ; gluten et produits laitiers qu’il faut absolument supprimer sous peine de dysbiose intestinale.
Traiter son éventuel SIBO “ Small Intestinal Bacterial Overgrowth” Breath test (test au glucose) à faire et traiter si positif ; Origan Canelle Thym en Huiles essentielles et Argent colloïdal par exemple
Et dépister une candidose digestive mise en évidence par le MOU (métabolites organiques urinaires)
Activité physique et poids
On recommande impérativement une activité physique journalière de 30 minutes avec transpiration.
Il est très possible d’augmenter sa fertilité grâce à son alimentation. Le poids est un facteur important tant pour un surpoids que pour un poids trop faible qui peut perturber les cycles menstruels et parfois l’ovulation.
Un excès de protéine d’origine animale pourrait également rendre la conception plus difficile alors que les protéines végétales (dans les légumes frais et secs) semblent faciliter la conception. Les légumes verts sont également une source importante de folates qui faciliteraient également la conception.
Certaines études montrent également qu’un taux trop élevé de sucre dans le sang réduirait la conception et des études récentes montrent que le gluten moderne pourrait être une cause d’infertilité et serait responsable de plus de fausses couches.
Cortisol et magnésium
Le manque en cortisol est très fréquent (stress chronique, époque COVID, burn out …) :
- sujet aux infections,
- hypoglycémies entre 11 et 16 heures, envies de sucre,
- fatigue constante, mieux couchée que debout, sensation d’apathie, somnolence,
- éruption cutanée…
- une CBG élevée signera une carence chronique
Carence en magnésium (contrôler le magnésium intra érythrocytaire) qui doit être impérativement aux normes hautes)
Conseils préconceptionnels, idéalement dans les 3 à 4 mois précédant la fécondation
Les compléments nutritionnels doivent contenir au moins 150 µg d’iode et le précurseur et la vitamine B9 sans excipients dangereux (dioxyde de titane par exemple)
- Femibion® grossesse metafolin + DHA ® sans dioxyde de titane 1 de chaque tous les matins, 2 mois avant la conception au moins et jusqu'à la fin du 2 ème mois de grossesse.
- Magnésium citrate D stress 1 /jour, le matin au petit déjeuner
- Choline (phosphatidylcholine) 480 mg / jour
- Ergy D vitamine D naturelle 60 gouttes par jour soit 6000 UI par exemple. Pendant un repas. A prendre pur ou sur un aliment plutôt gras (c’est une vitamine liposoluble). Une seule prise / jour. Eviter les doses mensuelles ou trimestrielles.
A adapter pour obtenir un taux de 25OHD3 autour de 60 ng/l
Pas d’Adrigyl qui contient du butylhydroxytoluène (BHT) comme excipient.
Il peut être utile et urgent en pré conceptionnel de se détoxifier en perturbateurs endocriniens et métaux lourds dans les 3 à 6 mois qui précèdent selon son mode de vie, son lieu de vie, son travail. Il est possible et prudent de les doser.
Détox essentiel Perturbateurs Endocriniens et métaux lourds®, un de chaque cure de10 jours à la suite ou Cystéine 0,5 g 3/jour avec Chlorophylle QuantaPhylle 1matin et soir, un mois
- Pas de perte de poids importante avant la conception (relargage des perturbateurs endocriniens)
- Traiter absolument sa dysbiose intestinale/SIBO ("Small Intestinal Bacterial Overgrowth") durant la période péri conceptionnelle.
---Si difficultés pour concevoir rajouter ; Conceptio femme® 1 gélule le matin, 1 capsule le soir avant le dîner, programme de 6 mois dès le désir de grossesse
---Pour optimiser la fertilité masculine : Conceptio homme® Pour mémoire la spermatogénèse dure 3 mois. Arrêt tabac, cannabis, manger bio, pas de téléphone portable dans les poches, porter des caleçons larges, pas d’ordinateur sur les genoux. Optimiser aux normes hautes son taux de zinc.
Consommation importante de fruits, de légumes verts, tomates
Tout bio, on a plus le choix en péri conception actuellement
L’alcool est contre indiqué. (et pour mémoire le vin non bio est une véritable liqueur de pesticides)
Eviter les poissons prédateurs (thon, espadon, marlin...) et les poissons crus (risque d’anisakis). L’apport en huile Oméga 3 est essentiel pour le système nerveux central ; saumon, maquereau, anchois, sardine, hareng, 1 fois / semaine haddock, truite, salade de mâche ...
ou en gélules afin d 'apporter 2 grammes d'EPA .
Afin d'augmenter la part des graisses polyinsaturées oméga3, limiter drastiquement ou mieux supprimer les produits laitiers et le gluten (beurre avec modération mais à ne pas exclure) qui seront remplacés par de l'huile d'olive, de colza, de lin, de noix, de chanvre ou krill.
Utiliser des graines de lin dans les aliments (salades ...). Regarder le site bleu blanc cœur
Acheter des œufs bio, 1 à 2 oeufs coque le matin au petit déjeuner.
Eviter les huiles Oméga 6 (tournesol, maïs, pépins de raisin, soja)
Sel iodé NON fluoré sans excès (Attention les sels de Ghérande et de l’Himalaya ne contiennent pas d’iode)
L'exposition au tabac provoque ; augmentation du délai de conception, cycles courts et irréguliers, augmentation du risque de cryptorchidie, anomalies des spermatozoïdes, une intoxication au cadmium
Bilan infectieux à faire pour le couple (HIV, hépatites B,C,E, syphilis, chlamydia, mycoplasme, trichomonas, recherche HPV…)
Limiter au maximun le WIFI et l’utilisation du téléphone portable, mode avion le plus possible et toujours la nuit.
Pour optimiser la fécondation : relations sexuelles tous les 2 à 3 jours, (les chances sont maximales 2 jours avant et pendant l'ovulation) avec un maximun d’orgasmes pour optimiser les taux d’ocytocine, cortisol et neuromédiateurs
Lubrifiant pour les relations sexuelles : Prefert® (ACL 6006582) Labo Bivea, sans parabènes, contribue à la mobilité des spermatozoïdes.
Toilette à l'eau seulement de la vulve (pas de cosmétiques toxiques) . Le vagin est auto nettoyant. Gérer ses règles avec coupelles, culottes de règles protections et/ou tampons bio.
Faire une iodurie des 24 heures (dosage d'iode dans les urines) + vitamines B9, B12, TSH, T3 libre, Ac anti TPO, vit A, 25OHD3, Sélénium et Zinc, en plus des bilans rituels : groupe sanguin, toxoplasmose, rubéole,...
Pour mémoire : T3 libre > 3,4 ng/l ou 5,2 pmol/l et T3 reverse < 0,20
Pour aller plus loin et se motiver, revoir le film "Demain tous crétins"
Baisse du QI, multiplication du nombre d’enfants atteints d’hyperactivité ou souffrant de troubles de l’apprentissage : les tests les plus sérieux révèlent ce qui paraissait inimaginable il y a 20 ans : le déclin des capacités intellectuelles humaines. Serions nous entrés dans une sorte "d'évolution à l'envers" ? La question est posée par d’éminents chercheurs. Au banc des accusés, les perturbateurs endocriniens qui ont envahi notre quotidien et menacent les cerveaux des bébés. Révélations sur un phénomène inquiétant. (Et conseils pour protéger les générations futures !))
https://www.demaintouscretins.com/
https://www.gironde.fr/sites/default/files/2018-01/bons-gestes-grossesse-bebe.pdf
Article du Docteur Didier Cosserat
Bibliographie
- Barbara Demeneix, Cocktail toxique, comment les perturbateurs endocriniens empoisonnent notre cerveau Éditions Odile Jacob (2017)
- Barbara Demeneix, Le cerveau endommagé, comment la pollution altère notre intelligence et notre santé mentale Éditions Odile Jacob (2017)
- Denise Caro, Rémy Slama, Les perturbateurs endocriniens Éditions Quae (2017)Philippe Grandjean, Cerveaux en danger, protégons nos enfants Éditions Buchet Chastel (2016)
- Stéphane Horel, Intoxication, perturbateurs endocriniens, lobbyistes et eurocrates : une bataille d'influence contre la santé Éditions La Découverte (2015)
- Olivier Kah, Les perturbateurs endocriniens, ces produits qui en veulent à nos hormonesÉditions Apogée (2016)
- Théo Colborn, L'Homme en voie de disparition Éditions Terre Vivante (1997)
- Claude Aubert, André Lefebvre, Denis Lairon, Manger bio c'est mieux ! Éditions Broché (2012)
- Laurent Chevallier, Claude Aubert, Le guide anti-toxique de la grossesse,Editions Marabout 2017
- Albert Levy (collectif d'auteurs), Patrick Geddes en héritage Éditions Erès (2016)
- Lili Sohn, La guerre des tétons - tomes 1, 2 et 3 Editions Michel Lafon (2014)
- André Cicolella, Cancer du sein, en finir avec l'épidémie Éditions Les Petits Matins (2016) et Toxique planète, le scandale invisible des maladies chroniques Éditions Le Seuil (2013), format poche (2017)
- Rachel Carson, Silent spring Éditions Houghton Mifflin (1962) Version française : Printemps silencieux Éditions Wildprojet (2009)
- Francelyne Marano, Robert Barouki, Denis Zmirou, Toxique ? Santé et environnement : de l'alerte à la décision Éditions Buchet Chastel (2015)
- Marine Jobert, François Veillerette, Les perturbateurs endocriniens, la menace invisible Éditions Buchet Chastel (2015)
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Dugué Anne (mercredi, 26 août 2020 05:23)
'Qu'en des termes clairs ces choses-là sontdites !! '
Un vrai régal.
anne.dugue@neuf.fr
Docteur Cosserat j'ai pris un rdv vidéo en octobre avec vous . Hypothyroïdie fruste .
(Pas question d'infertilité , j'ai eu 3 enfants ....j'ai 71 ans ... )
J'essaierai de faire le maximum des dosages que vous préconisez.
J'aimerais comprendre pourquoi , après nf , Lthyroxine Lehning tous dosages , puis finalement fin mai 2019 , ARRÊT de tout traitement par un endocrinologue , je me retrouve toujours au bout du compte avec un retour régulier de plusieurs symptômes d'après nf .
A bientôt donc . Et merci pour vos conseils si précieux et votre intérêt sans faille à notre cause .
Anne Dugué
Celia (dimanche, 06 juin 2021 17:58)
Bonjour,
Je fais partie de ces infertilité inexpliquées mais qui l'est sans doute par une hypothyroïdie frustre.
Aucune grossesse naturelle depuis plusieurs années, une IAC échouée le mois dernier...
Prise de conscience il y a quelques jours suite à une rencontre médicale, je vais réaliser les tests suivants : Iodurie T3 T4 des urines de 24H, TSH T3L T4L Anticorps anti-thyroperoxydase.
J'ai tous les symptômes (fatigue matinale, pieds mains nez froid, plus je me repose plus je suis atone, plus je m'active mieux je me sens, circulation veineuse pas évidente...)
Je compte prendre en charge une detoxification importante hépatique rénale métaux lourds, agir sur ma perméabilité intestinale et ma dysbiose (même si je n'ai aucun trouble intestinal ni de transit) avec les produits du laboratoire Bionutrics, et corriger mes apports en gluten et lait de vache.
J'ai une homocystéine à 8,54 ymol/l, une TSH depuis 2ans qui oscille entre 2,49 / 1,85 / 3,99 / 2,45
Suite à mes recherches sur ces analyses je suis tombée sur votre page internet. Quelle joie !!
Mais pour m'aider à comprendre les résultats que je vais obtenir, pourriez vous me donner les valeurs idéales ? Je ne compte pas me fier aux valeurs indicatives du laboratoire puisque nous savons qu'elles ne correspondent pas à ma situation.
Bien Cordialement
Celia
citron.mimosa13@gmail.com