Retour attendu malheureusement d’une hausse des contaminations au virus Covid-19.
Même pas une deuxième vague quoiqu’on en dise, puisque le virus a toujours circulé.
Il a été fortement propagé aux retours de vacances, lors des soirées de notre jeunesse à qui une communication médiatique contradictoire et incomplète, a laissé croire que seuls les plus de 60 ans, les obèses, les diabétiques étaient des personnes fragiles !
Fortement propagé ensuite dans les retours en milieu scolaire, après avoir diminué les conditions d’accueil encadrées de fin juin.
Fortement propagé ce vilain virus, parce qu’on laisse croire qu’être asymptomatique est sans danger de contagiosité ou de complications ultérieures au long cours.
Fortement propagé parce que les invincibles ont jugé et continuent à penser que les gestes barrière sont une atteinte liberticide. Une conduite qui entraîne actuellement la nécessité d’un couvre-feu pour limiter la propagation lors des soirées « détente » où chacun d’entre nous aimerait retrouver la vie « d’avant » !
Si nous n’acceptons pas cette mesure temporaire, si nous ne prenons pas conscience de l’importance à limiter la diffusion du virus Covid-19, attendons nous ensuite à voir instaurer à nouveau un confinement dans les zones rouges ou écarlates. Une limitation des déplacements serait plus restrictive de nos libertés et un réel coup de massue sur l’économie de ce pays.
Soyons conscients que le virus ne se propage que par ceux qui sont infectés,
souvent avant d’en ressentir les premiers symptômes.
Un vilain virus que certains s’entêtent à traiter uniquement en phase initiale à coups de Doliprane ! Pourtant, sur le terrain, dans leurs cabinets ou en milieu hospitalier, des médecins ont appris à soigner efficacement, en échangeant entre eux leurs observations, en comparant leurs résultats.
Mais là aussi, la communication médiatique ne retient et n’informe que sur les recherches onéreuses des gros laboratoires, qui promettent la mise en place de traitements efficaces courant 2021.
Après la phase initiale de l’infection, s’installent parfois les complications au long cours post Covid. Aucune communication officielle sur ces conséquences que subissent depuis de longs mois certains malades du printemps. Les médias et les politiques découvrent ce que subissent au quotidien les victimes, souvent jeunes, incapables depuis des mois d'assurer la vie quotidienne, donc évidemment incapables de retour dans la vie professionnelle.
Faut-il avoir été fortement touché en phase initiale pour les subir ? Les malades asymptomatiques peuvent-ils en être victimes ? Y a –t-il une tranche d’âge plus sujette à ce type de complications ? Des maladies auto-immunes peuvent-elles apparaître post infection virale ? Quand et comment sortir d’un état au long cours ?
Beaucoup de questions et d'informations qui amèneraient les citoyens à reconsidérer leur refus des gestes barrières, les mesures restrictives temporaires.
Écrire commentaire