Retrouvez l'interview d'Alain Branchereau sur notre chaîne Youtube
Surprise pour notre ami Alain Branchereau que de recevoir cette nomination au grade de chevalier de la Légion d'Honneur, après 53 années d'exercice de la médecine.
Dans un premier temps, sa modestie l'avait amené à refuser, mais très vite, il a compris que c'était une autre façon de collaborer au combat qu'il mène avec ses confrères pour faire reconnaître les traitements qui fonctionnent contre le Virus Sars-Cov-2.
Merci à tous de n'avoir jamais oublié le serment d'Hippocrate et d'avoir
"Tester, isoler, mais aussi Soigner", notion étonnamment absente
face à un virus
- qui a fait exploser nos services de réanimation,
- a causé100 000 décès en France,
- a fait 500 000 victimes de Covid longs,
- auxquels il faut ajouter les enfants victimes du PIMS.
https://www.estrepublicain.fr/societe/2021/02/01/alain-branchereau-fait-chevalier-de-la-legion-d-honneur
Catastrophe sanitaire : qui sont les responsables ? Les politiques ou les experts médicaux ?
Qui peut être rendu responsable de la catastrophe sanitaire Covid-19; ayant entrainé plus de 500 000 décès en France : le corps médical figé sur son académisme et son orthodoxie méthodologique ou les politiques qui leur ont fait confiance du moins au début de l’épidémie ?
Ce 26/3/2021, un excellent journaliste Jean Quatremer vient de s'exprimer lors de l'émission 28 minutes sur la chaine ARTE en précisant :
« dans cette épidémie ceux qui ont failli, ce ne sont pas les politiques, ce sont les scientifiques ! »
Julia De Funes dans un texte en vers brillant « Le médecin devin malgré lui » avec un bon sens populaire décrit l'abîme qui sépare « les sachants » drapés de leur titre de professeur souvent acquis sans gloire, avec les « praticiens de terrain » ceux qui ont réellement traité et sauvés leurs malades en ne suivant pas les consignes des « devins ».
FIGAROVOX/HUMEUR la philosophe Julia de Funès dépeint avec humour une catégorie de médecins : ceux qui, sur les plateaux télé, tranchent, prédisent, ordonnent au nom de leur science.
« Quand ils se résoudront à ne faire plus que du médical.
Les médecins cesseront alors de se prendre pour devins
Et retourneront au soin dont nous avons tant besoin. »
Il serait temps en effet d'étudier quel rôle néfaste ont joué les scientifiques et tous ceux qui se gargarisaient de ce qualificatif en passant de plateaux télé en plateaux télé.
Nous avons assez de recul aujourd'hui pour incriminer le complotisme des délinquants en blouse blanche !
Nous disons délinquants car ces personnes ont commis un délit selon l'article 18 de la loi « confortant le respect des principes de la République » dédié à la répression de la haine en ligne : la haine exprimée par le corps médical orthodoxe, vis à vis des médecins ayant traité avec succès leur malades, n'a jamais eu d'égal dans l'histoire de la médecine.
Les qualificatifs de « charlatans », « d'apprentis sorciers » de « personnes dangereuses méritant d'être condamnées » et cerise sur le gâteau « de covido-sceptiques » illustre cette haine dirigée contre les « vrais médecins », ceux qui ont traité !!!!
L’article 18 (ex-article 25) prévoit en effet un « nouveau délit de mise en danger de la vie d’autrui par diffusion d’informations relatives à la vie privée, familiale ou professionnelle d’une personne permettant de l’identifier ou de la localiser ».
Ce délit est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende. Une peine relevée à 5 ans de prison et 75 000 euros d’amende lorsque la personne visée est dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public.
Nous disons complotistes car face à une pandémie totalement nouvelle, épidémie face à laquelle tous les réflexes acquis sur les expériences passées ont volé en éclat (Grippe, SIDA, ETC..), ces personnes censées représenter la science se sont arcboutés sur des idées figées, sur des dogmes, fondés sur leurs croyances passées sans aucun fondement scientifique démontré dans cette épidémie.
Quels ont été ces dogmes et ces croyances non vérifiées : pendant 12 mois les autorités sanitaires et les experts de plateau télé ayant comme tête d'affiche Mme Karine Lacombe, ont répété à la cantonade :
« il n'y a pas de traitement, il ne faut pas utiliser d'antibiotiques ».
De telles informations dans le cadre d'une pandémie totalement nouvelle dont personne ne pouvait « prédire » ce qu'il fallait faire sauf après l'avoir scientifiquement vérifié, a conduit à une catastrophe sanitaire.
Catastrophe, pendant la première vague du printemps 2020, liée au fait que ces autorités sanitaires, aux ordres des « sachants »,
- ont non seulement « mis hors circuit » les médecins généralistes en imposant aux malades « de rester chez eux en attendant d’appeler le 15 en cas d'aggravation »,
- mais aussi par la suite à « orienter 80% des médecins de ville », les premiers à voir les malades dès les premiers symptômes (la période ou les traitements ambulatoires précoces se sont révélés efficace), par une « emprise » médiatique,
- à ne pas traiter en dehors du Doliprane : molécule qui semble même contreproductive selon de récents travaux italiens eu égard à son potentiel anti-inflammatoire favorisant la réplication virale et à son potentiel analgésique estompant les signes cliniques.
Le plus grave est que ces médecins consciencieux qui ont continué à traiter, selon les recommandations de l'OMS, leurs patients atteints d'une « pneumopathie atypique », (à savoir par des antibiotiques de la famille des macrolides), ont été « poursuivis » par le conseil de l'ordre, menacés par les ARS, et traités de tous les noms d'oiseaux par ces « devins », dont l'héroïne K Lacombe a même été décorée de la légion d'honneur, allant même jusqu'à ce nouveau qualificatif, désignant tous ceux qui pouvaient penser différemment, de « complotistes ».
Emmanuel Macron comme tout responsable politique s'est tout d'abord fié sur ce « corpus médical » en étant toutefois le seul à se rendre à l'IHU de Marseille pour essayer de se faire une première idée de ce traitement ambulatoire précoce (TAP). Malheureusement une « erreur d'aiguillage » sur la molécule responsable des premiers résultats favorables observés lors de cette bithérapie (macrolide+ hydroxychloroquine HCQ) a entrainé une polémique autour de l'HCQ, stérilisant pendant plusieurs mois la piste de l'antibiothérapie : les essais randomisés des égyptiens Elgazzar et al illustrent enfin aujourd'hui la différence d'activité sur la mortalité du macrolide (Azithromycine : avec IVM) face à l'HCQ seule : formes légères 1% de décès contre 22% HCQ seule, formes graves 4% contre 30%.
A l'heure actuelle, (avril 2021), les résultats de tous les médecins de ville du monde entier ayant traité en ambulatoire les malades dès les premiers symptômes avec un macrolide (avec ou sans l'HCQ), montrent une chute plus que significative de la mortalité :
- En France la létalité, le nombre de décès en rapport des malades atteints par le virus, chute d'un coefficient de 30 : elle passe de la moyenne nationale qui s'établit selon Santé-France à 2,7% à un peu moins de 0,1% que ce soit chez les malades (11.000) traités à l'IHU , chez les malades du collectifs « AZI-THRO-d'hospitalisations (4034),
- chez un collectif italien (6000 malades),
- chez les médecins américains (Brian Tyson, Zellenko, Peter Mc Cullogh) avec plus de 10.000 patients,
- ou chez la pneumologue Roumaine Flavian Grosan (1000 patients traités à la clarithromycine).
Cette surprenante activité d'un antibiotique dans une infection virale a virus ARN a été signalée, dès mars 2020, aux « sachants » du conseil scientifique et aux autorités sanitaires par un groupe de chercheurs qui avaient, suite à des travaux avec le Pr Montagnier dans le cadre des cofacteurs du SIDA, prouvé in vitro et in vivo cette « coopération bactérie/virus » capable d'amplifier la réplication d'un virus ARN et donc d'engendrer les complications observées dans la covid-19 : Complications à court terme (hospitalisations, réanimations, décès) ou à long-terme (covid-longs) n'apparaissant pas dès l'utilisation par les médecins de ville d'un antibiotique classiquement efficace sur ces « coopérants ».
Plutôt que de vérifier cette piste « innovante »,les « sachants » drapés de leur titre de « professeur » ou « d'autorité sanitaires » habitués a donner le « la » ont pris ces travaux par le mépris et ont préféré se polariser sur l'HCQ plutôt que de dupliquer les résultats des médecins de ville utilisant le seul antibiotique : ils sont même allés, sur proposition d'un procureur en chef (Martin Hirsh) qui ne doit son poste qu'à la politique, jusqu'à dégrader le Pr Perronne de son titre hospitalier, à l'image du capitaine Dreyfus avait été dégradé de ses titres militaires.
On peut vraiment dire aujourd'hui
- à l'heure où tous les travaux montrent le rôle des bactéries « coopérantes » et non uniquement « sur-infectantes » dans les infections virales,
- à l'heure où tous les traitements ambulatoires précoces (et non tardifs messieurs les hospitaliers !!) illustrent l'efficacité du TAP non seulement sur la chute des décès mais surtout sur la prévention de la survenue de cette bombe à retardement que sont les covid-longs (le TAP fait chuter les Covid-longs de 30% à 1%),
- que les « sachants » du corps médical (O. Véran, J Salomon, Boué Pdt du Conseil de l'ordre, K Lacombe et sa cohorte de spécialistes de plateaux télé) sont plus responsables de l'hécatombe que les politiques.
De son côté, le président Macron, dont je ne fais pas partie des aficionados, a su à un moment laisser aller son intuition en levant légèrement le masque de ces « devins » !
Nous avons les preuves d'enregistrements téléphoniques et de SMS illustrant que ce dernier ainsi que Mme Brigitte Macron ont essayé de faire bouger les choses mais qu'ils se sont heurtés au « système » médical et à son potentiel « d'emprise » sur une population perdue mais aussi sur des médecins de ville tétanisés par les menaces planant en cas de « traitement » autre que le Doliprane. Que peut faire un politique, à 1 an des présidentielles, face au pouvoir médical si puissant sinon composer avec !!
C'est pourquoi nous lui avons proposé, pour faire avancer les choses, comme ce fut le cas à propos du SIDA, d'inclure une association de malades covid-longs, l'UPGCS, les seuls qui peuvent aujourd'hui témoigner des conséquences liées à cette absence de traitement ambulatoire précoce, dans le conseil scientifique afin que la science redevienne un lieu de débat et non un lieu d'excommunication.
Quant aux conséquences dramatiques de ce « déni thérapeutique » des autorités sanitaires et des « experts de plateaux télé en blouse blanche », l'association UPGCS se laisse la liberté d'agir au niveau de la justice. Selon que ces derniers reconnaissent ou non à temps leur « fausse route » (pour sauver encore des vies et des covid-longs), dans l'attente d'une éventuelle immunité collective liée à la vaccination, l'UPGCS les traduira en justice soit pour non-assistance à personnes en danger (décès et covid-longs), soit selon l'article 18 de la loi « confortant le respect des principes de la République » dédié à la répression de la haine en ligne, soit selon les deux voies juridiques.
Claude Escarguel microbiologiste
Ancien président du syndicat national des praticiens des hôpitaux généraux
Porte-parole du collectif de médecins « AZI-THRO- d'hospitalisations »
Co-Président de l'association de malades UPGCS
Former head of laboratory at the Institute of Paediatrics of Marseille, France
Creator and director of International Mycoplasma (today Ellitech), a company world leader (1985-2000) in Mycoplasmology (germes coopérants?).
Co-creator of Bio Véto Test (now Virbac) with which we developed the world's first vaccine against Canine Leishmaniasis.
Founder and director of Inodiag, a company specialized in diagnosis by pathology, start-up de l'IHU de Marseille
Founder and director of Gene&Greentech, a company specialized in genetic engineering: (2003-2016) start up de l'IHU de Marseille.
Madame Annie Notelet, Co-présidente de l'association UPGCS,
dont le rôle essentiel est de faire entendre les demandes des usagers de la santé, leur colère gronde et ce seront les électeurs de 2022.
Lettre d'indignation et de démission d'un des médecins du conseil de l'ordre
A Dr Patrick BOUE, Président du CNOM
Le 14/01/2021,
Monsieur le président,
Je vous fais une lettre que je joindrai à la lettre de démission que j’adresserai à Pr Alain LEGUERRIER, président du conseil de l’ordre départemental de l’Ille et Vilaine (CDOM 35).
Cette démission, que j’ai failli prendre à plusieurs reprises dès 2018 aura une valeur surtout symbolique puisque mon mandat devait prendre fin début février et que je n’envisage pas de me représenter et je le regrette.
L’annonce début décembre de la plainte du CNOM à l’encontre de 6 médecins
aura été le facteur déclenchant.
Cette démission témoigne de mon incompréhension et de mon immense déception.
En janvier 2015, lorsque j’ai fait acte de candidature au conseil de l’ordre de mon département, vous n’étiez pas étranger à cette décision. En devenant président du CNOM vous aviez apporté quelque chose de nouveau avec quelques discours forts :
« Remettre le soin et le médecin au cœur des politiques de santé etc ».
Jusque-là, je l’avoue le conseil de l’ordre, le CNOM en particulier, m’apparaissait comme une vieille institution éloignée des préoccupations des médecins et de la population avec des discours me paraissant décalés et rigides. Le décès très récent de mon père, qui s’était toujours fortement impliqué dans sa vie professionnelle, y fut probablement aussi pour quelque chose. Mon père venait de passer les 4 derniers jours de sa vie dans un hôpital dans des conditions déplorables avec une toute fin très probablement insoutenable.
En janvier 2015, il me semblait que depuis dix ou quinze ans, la médecine française dégringolait, que les rapports sur le soin étaient devenus plus importants que le soin lui-même, que « l’administratif » avait étouffé « le médical », l’humain.
En me présentant, j’espérais pouvoir (avec beaucoup d’autres) défendre une certaine idée de la médecine centrée sur la relation privilégiée « médecin- patient », une médecine centrée sur le patient et le soin à lui apporter dans le respect des professionnels du soin et de leurs conditions d’exercice.
Le serment Hippocrate paraissait plus que jamais d’actualité et en particulier le principe fondamental de l’indépendance du médecin repris dans l’article 5 du code de déontologie. En 2015, une grande manifestation de médecins eut lieu à Paris. Il s’agissait alors de la défense de notre indépendance vis-à-vis du pouvoir administratif et surtout vis-à-vis des compagnies d’assurances via le projet de loi sur la généralisation du tiers payant obligatoire.
En 2015, je ne savais pas encore que notre indépendance était déjà fortement menacée par le lobbying pharmaceutique (je pensais tout connaître à son sujet et m’en être préservée à peu près). En 2015, j’étais loin de m’imaginer que la liberté de prescription du médecin (article 8) serait attaquée quelques années plus tard avec l’aval du CNOM.
Début décembre 2020, le CNOM a porté plainte contre 6 médecins, en lien avec leurs prises de position et/ou leur activité professionnelle lors de cette pandémie COVID (motif peut être autre pour Pr Joyeux).
Si je tiens compte de ce que j’ai lu et entendu sur ces médecins, en particulier sur Pr D. Raoult, Pr C. Perronne et à un degré moindre sur Dr N. Delépine ainsi que sur d’autres médecins qui ont déjà dû s’expliquer devant leur conseil départemental respectif, il me semble que ces médecins ont été parmi ceux qui ont le mieux appliqué le code de déontologie et qui ont le mieux défendu l’esprit du serment Hippocrate. Il me semble que ces médecins ont eu pour tort essentiel de s’occuper de leurs patients, de tout faire en leur âme et conscience pour leur éviter une forme grave de la maladie, voire un décès et que quand ces médecins ont estimé avoir un médicament efficace, ils se sont exprimés, ceci dans le but essentiel et très louable de sauver des vies ; cela fut tout particulièrement le cas au printemps dernier à une époque où l’on savait encore si peu de choses sur le virus et sa maladie et que la peur avait gagné l’ensemble de la population française.
Il me semble, qu’en décembre 2020, alors que l’on ne peut plus faire semblant d’ignorer l’importance du loobying pharmaceutique qui ira jusqu’au « scandale du Lancet Gate », que ces accusations sont paradoxales et très injustes.
Retour début 2020 : Les premières semaines, le discours politique et médical maintes fois entendu fut qu’un des objectifs principaux, voire l’objectif principal était de créer un maximum de lits de réanimation. A chaque fois que j’entendais ce discours rabâché à longueur de journée par les médias, discours qui finissait par faire apparaître presque comme un idéal ce nombre élevé de lits de réanimation, quand on sait ce qu’est un séjour en réanimation et le taux de mortalité qui va avec, je frémissais et je revenais quelques années en arrière… Il me semble que le discours qui aurait dû être martelé en parallèle de cette communication terrifiante était que l’objectif principal était de tout faire, de tout tenter pour que ces lits de réanimation restent inoccupés.
Alors quand Pr D.RAOULT (de renommée internationale parmi ses pairs) communiqua sur les résultats du protocole prescrit dans son service, un vent souffla sur toute la France, puis en dehors des frontières qui contribua à redonner de l’espoir à beaucoup de gens, dont de nombreux médecins.
Pr D.RAOULT et son équipe au sein de l’IHU de Marseille furent les premiers à décrire 2 temps dans cette maladie : un premier temps viral et un second temps dit dysimmunitaire qui faisait toute la gravité de la maladie et à communiquer sur le fait que si les antiviraux devaient être prescrits, ils devaient l’être au début, au temps viral de la maladie. Pr D.RAOULT et son équipe prescrivirent un protocole à base d’Hydroxychloro-quine (préconisée en premier par la Chine) et ajoutèrent de l’ Azithromycine , deux médicaments que l’institut connaissait particulièrement bien.
La suite logique aurait été, vu le niveau d’excellence de Pr D. Raoult et de son équipe, que les autorités sanitaires favorisent la prescription de ces traitements par les médecins de premier recours que sont entre autres les médecins généralistes et au minimum de permettre aux médecins qui le souhaitaient de tester en leur âme et conscience ce ou ces médicament(s).
Au lieu de ce scénario, au lieu même de se réjouir, une Bronca s’abattit presque immédiatement sur Pr D.RAOULT. Cerise sur le gâteau, le décret du 25 mars interdit même la prescription d’hydroxy chloroquine par les médecins libéraux et il fut vivement déconseillé de prescrire de l’Azithromycine.
Les interventions de Dr Douste-Blasy (avec sa pétition) et de bien d’autres ne furent suivies d’aucun effet. Paradoxalement, la prescription de Rivotril I.V fut facilitée en particulier dans les EHPAD, après échec du seul Paracétamol !
On s’est acharnés sur Pr D.RAOULT et son équipe puis sur Pr C.PERRONNE. Et peu importait leurs nombreux patients traités et guéris, peu importait le très faible taux de mortalité des patients traités dans un premier temps à l’IHU !
Un premier « plan d’attaque » cibla l’absence d’étude en double aveugle !
Pr D. Raoult eut pourtant une réflexion très intéressante sur les études en double aveugle en élevant le débat. Pr C. Perronne et d’autres soutiendront que dans le cas de cette pandémie, ce type d’étude n’était pas éthique. En effet, lorsqu’un médecin est convaincu qu’un médicament marche, il n’est pas éthique de ne le proposer qu’à la moitié de ses patients et de laisser l’autre moitié sous placébo.
Pr Didier Raoult rappela que les études en double aveugle sont actuellement très souvent utilisées pour promouvoir un nouveau médicament et que dans ces études il s’agit en général de comparer le nouveau médicament au médicament de référence. Nous n’étions pas du tout dans ce cas de figure dans la COVID. J’ai eu l’occasion de critiquer ce type d’étude de façon imagée avec l’argumentaire suivant : Avec ce type d’étude, il s’agit de comparer 2 médicaments , le nouveau défendu par « un super avocat » (le laboratoire qui paye l’étude) et l’ancien « sans avocat » ( vieux médicament devenu très bon marché et génériqué pour lequel aucun laboratoire ne se battra plus jamais ) .
Cela a pour fâcheuse conséquence la disparition de médicaments, parfois vitaux, qui avaient fait leur preuve, qui se voient supplantés par d’autres médicaments, qui s’avéreront parfois (voire souvent) moins efficaces que leurs prédécesseurs ! Certains de ces « bons vieux médicaments » font partie du patrimoine de l’humanité et ce patrimoine est aujourd’hui menacé.
Puis presque simultanément, un second « plan d’attaque » cibla la prétendue toxicité considérable de l’Hydroxychloroquine en particulier cardiaque, ceci jusqu’au scandale du « Lancet Gate » avec ses conséquences affligeantes au plus haut sommet de l’état qui devraient interroger !
Pendant tout ce temps : Le discours officiel restait le même :
- N’allez pas ou peu voir votre médecin (consultation à distance de préférence),
- prenez du Paracétamol,
- restez chez vous
- et si vous avez des difficultés à respirer, appeler le 15
- et vous serez pris en charge à l’hôpital.
Il était urgent d’attendre, quelques semaines tout au plus ! De nombreuses études très prometteuses testant des médicaments très prometteurs étaient en cours, en particulier l’étude Discovery (qui soit dit en passant n’était pas une étude en double aveugle !). De nombreux médecins (hospitaliers pour la plupart) se relayaient sur les plateaux télévisés sans jamais (ou presque) déclarer leurs conflits d’intérêts. Des semaines plus tard, l’étude Discovery a fait Pschit… et ces médicaments très prometteurs, nous les attendons toujours !
DECEMBRE 2021 : Par ces différentes plaintes, on a reproché entre autres à ces médecins de ne pas avoir respecté l’article 39 du code de déontologie :
« Les médecins ne peuvent proposer aux malades ou à leur entourage comme salutaire ou sans danger un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé. Toute pratique de charlatanisme est interdite ».
Comment peut-on raisonnablement tenir de tels propos au sujet de l’Hydroxychloroquine et de l’Azithromycine, médicaments pourtant tant et tant éprouvés en particulier par l’équipe de Pr D. Raoult ? Comment traiter de charlatan, à l’heure ou « le variant anglais » fait la une de l’actualité, un médecin chef de service d’un des rares établissements performants en France, (si ce n’est le plus performant) dans ce domaine du séquençage de génomes ?
- Que dire alors du Remdesivir, le qualificatif de « remède illusoire ou insuffisamment éprouvé » n’est-il pas particulièrement approprié ? : médicament mis sur le marché pour traiter EBOLA et qui s’est révélé inefficace, médicament désavoué par l’OMS le 20/11/2020, pour résumé : médicament qui pour le moment ne s’est montré efficace pour traiter aucune maladie, et qui de surcroît donne des effets secondaires conséquents.
- Que dire alors des très nombreux médecins qui ont prescrit ce médicament ?
- Faut- il les qualifier de charlatans ?
- Sous prétexte d’étude en double aveugle, on serait peu regardant sur les médicaments testés, au moins pendant quelques semaines, voire plusieurs mois ?
- La forme l’emporterait-elle sur le fond ?
Pourquoi , au printemps dernier, à une époque où l’on connaissait encore si peu de choses sur le virus SARS COV2 et la COVID 19, à une époque où il n’existait pas de traitement spécifique (et c’ est toujours le cas), pourquoi la communication des autorités sanitaires soutenue par le CNOM n’a-t-elle pas été au contraire de faire appel à tous les médecins en leur demandant de veiller sur leurs patients, de les traiter en leur âme et conscience (en respectant le code de déontologie )et de faire part de leur retour d’expérience ?
Comment s’être privé du concours de très nombreux médecins, en particulier de l’expérience de terrain des généralistes, connaissant leurs patients quand on sait que la majorité des patients sont et resteront suivis en ambulatoire, quand on sait que les patients hospitalisés ne sont pas représentatifs de l’ensemble des patients, quand on sait que de très nombreuses découvertes ont été faites par hasard…
Il semble que pour promouvoir un (ou des) médicament(s) (souvent très chers), on a empêché toute autre alternative thérapeutique.
Et cela continue. La recommandation reste au premier temps de la maladie, Paracétamol et rien d’autre. On refuse toujours aux médecins de terrain de faire part de leur retour d’expérience même si certains traitements prescrits leur paraissent avoir été très efficaces ! Remdesivir, Kaletra , Interféron à peine abandonnés.
Place à la vaccination. Vacciner le plus de monde, le plus vite possible et rien d’autre. L’espoir semble reposer maintenant tout entier sur cette vaccination.
Est-ce bien raisonnable ? Pourquoi par exemple ne jamais communiquer sur la recherche de médicaments ciblant de façon spécifique tous les coronavirus ? (recherche plus longue certes, mais pourquoi ne jamais ou presque jamais communiquer à son sujet ?)
Dans l’éditorial du dernier journal du CNOM de 2020, vous écrivez que l’ordre des médecins veillera à ce que l’indépendance des médecins soit préservée de toute pression ...
On ne peut que se réjouir que le CNOM défende cet article phare du code de déontologie ! Le scandale du « Lancet Gate » qui éclata en juin, démontre, si cela était encore nécessaire, la puissance de la pression exercée par le loobying pharmaceutique et ses conséquences dramatiques.
En 2017, les circonstances ont fait que je me devais d’alerter sur ce scandale sanitaire consécutif au changement de formule du Lévothyrox. Je ne comprenais pas pourquoi tant de médecins et de pharmaciens paraissaient si peu réceptifs à mon argumentation qui me paraissait d’une logique simple et irréfutable.
J’ai longtemps pensé que cela venait de moi, que je n’utilisais pas les bons mots, ou que je les utilisais mal. Paradoxalement, j’avais bien noté que les personnes qui exerçaient une toute autre profession étaient plus réceptifs.
Je ne compris vraiment qu’avec la pandémie COVID ce qu’était le lobbying pharmaceutique, ce qu’était sa force de frappe, ses moyens (humains aussi).
Je ne compris vraiment qu’en 2020 que c’était ce loobying le premier responsable de façon directe et indirecte de ce tel déni de réalité, ceci avec la complicité des autorités sanitaires et de professionnels de santé .
Au discours de vérité, on préféra parler d’hystérie collective puis d’effet Nocebo.
Ce sera la double peine pour les patients.
Le laboratoire Merck ne pouvait avoir (officiellement) failli. Cela empêchera toute recherche scientifique.
La relation « médecin-patient » fut très altérée pour de nombreux patients. En 2018, je vous écrivis 2 lettres à ce sujet, lettres restées sans réponse et suivies d’aucun effet-
Défendre l’indépendance des médecins. Noble et lourde tâche.
D’autant que depuis 20 ans on est passé d’une médecine de conseils et de recommandations émises par les autorités sanitaires et les « sociétés savantes » (le loobying pharmaceutique dans les coulisses) à une médecine de fortes injonctions et récemment à une médecine d’interdictions ; les médecins étant de plus en plus incités à appliquer des protocoles, à obéir et par conséquence à de moins en moins réfléchir par eux-mêmes.
Pourtant, l’article 69 du code de déontologie est là pour le rappeler :
« L’exercice de la médecine est personnel ;
chaque médecin est responsable de ces décisions et de ses actes ».
Et la médecine est loin d’être une science exacte !
Ne dit-on pas que l’exercice de la médecine est un art ?
Pourtant un nouveau décret publié pendant « la trêve de noël », modifiant l’article R 4127 du code de santé publique porte atteinte à cette indépendance en limitant la liberté d’expression des médecins. L’article R 4127-13 : « Lorsque le médecin participe à une action d’information du public à caractère éducatif, scientifique ou sanitaire, quel qu’en soit le moyen de diffusion, il ne fait état que de données confirmées, fait état de prudence et a le souci des répercussions de ses propos auprès du public… »
Mais qu’est-ce qu’une donnée confirmée ?
Une donnée publiée dans une prestigieuse revue médicale telle le Lancet ?
Ou une déclaration émanant de Dr Agnès Buzyn (alors Ministre de la santé) ou de l’académie de médecine, affirmant en chœur avec certitude la supériorité de la nouvelle formule du Lévothyrox ?
Ceci en s’appuyant sur une étude de bio-équivalence, étude qu’ils n’ont bien sûr jamais regardée ? (Et peu importe si on apprit le 04/04/2019 par des chercheurs indépendants qui analysèrent cette étude de près que pour plus de 60% des volontaires sains, il n’y avait pas de bio-équivalence entre les 2 médicaments !) Il faut croire que l’ANSM avait toute confiance en Merck ! Les effets du lobying pharmaceutique sont beaucoup plus puissants que ce que l’on ose imaginer.
Qu’est-ce donc qu’une donnée confirmée ? Et à qui faire confiance ?
Pour se préserver de la pression très forte exercée par le lobbying pharmaceutique, préserver l’indépendance du médecin, n’est-ce pas le minimum que l’on puisse exiger ?
Et pour se faire, n’est-il pas indispensable de favoriser la liberté de pensée et d’expression des médecins ?
D’autant que de tout temps la recherche a progressé parce qu’à un moment donné des individus ont remis en cause les données acquises du moment.
Pour conclure, de nouvelles élections arrivent, une nouvelle année débute, l’occasion de tourner cette page sombre au plus vite, l’occasion de vous demander d’abandonner ces plaintes.
Il y a tellement autre à faire et la tâche est immense !
Ne revient-il pas au conseil de l’ordre, garant du code de déontologie médical, d’ouvrir le débat, de favoriser un état des lieux approfondi, et d’émettre des propositions pour éviter un second « Lancet Gate », ceci pour que les paroles et les écrits des uns ou des autres soient à nouveau crédibles, au moins dans le domaine qui nous concerne, celui de la santé.
Bien cordialement
Dr XXX
Les langues se délient !
Le Pr fisher, le monsieur vaccin du gouvernement (un des meilleurs D R dixit) évoque notre piste des germes complices sur la chaine 5 (C dans l'air)
https://photos.app.goo.gl/ysHyxFryyFg2qJez9
Claude Escarguel (FR3) microbiologiste, a ouvert la voie par son brevet EP0649473B1 a la piste des agents co-infectants pouvant être responsables des complications de la covid, voie expliquant la surprenante efficacité des antibiotiques de la famille des macrolides (azithromycine): porte parole du collectif de médecins « AZI-THRO- d'hospitalisations » ayant étudié sur 5000 patients l'action préventive de l'Azithromycine dans l'apparition des complications de la covid-19
Co-président de l'association de malades covid-longs (UPGCS) il évoque l'absence de cette complication chronique chez les malades traités précocement
https://photos.app.goo.gl/XgdNqk6xSFJxNUau8
Le Dr Renaud Muselier (C News), président de la région PACA et président des régions de France, confirme l’intérêt du traitement ambulatoire précoce par des macrolides, et, comme le collectif « AZI-THRO », sort volontairement de la polémique autour de l'hydroxychloroquine en ne retenant que le couple Macrolides+Zinc
https://photos.app.goo.gl/ubJvZopb9552Krtc8
Le Dr Branchereau a été décoré de la légion d'honneur sur proposition du président de la république pour avoir eu une attitude exemplaire durant cette épidémie : il a traité ses malades Azithromycine +Zn et n'a eu aucun décès et aucune hospitalisation. Il se dit scandalisé par le harcèlement que subissent ses confrères notamment J J Erbstein vis à vis du conseil de l'ordre qui poursuit les médecins qui ont sauvé des vies : le monde à l'envers !
https://www.youtube.com/watch?v=imw-_WFe9v0&t=186s
Au sénegal le Pr Moussa Seydi confirme que l'hydroxychloroquine seule ne donne pas de bons résultats et que seule l'addition d 'azithromycine permet d'éviter les complications. D'un autre coté les études de l'azithromycine seule donne d'aussi bons résultats si ce n'est de meilleurs (en comparant les malades symptomatiques, ceux qui consultent, et en excluant les asymtomatiques, assez nombreux dans les consultations de l'IHU).
https://www.marianne.net/monde/afrique/au-senegal-un-traitement-avec-de-lhydroxychloroquine-on-ne-suit-pas-aveuglement-loms
Pour aller plus loin
Comment éteindre "le feu d'artifice pulmonaire " dès le départ de cette maladie liée au coronavirus associé aux bactéries dormantes de nos poumons = la COVID 19
Le coût d'une vie ! Covid 19 Cherchez l'erreur ! Claude Escarguel démontre l'intérêt de l'antiobiothérapie au 1er jour de l'infection Covid
Comment aider à lutter contre le Covid-19 , documents extraits de la conférence du Docteur Brette pour l'UPGCS
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Alain Rousseau (vendredi, 23 avril 2021 09:05)
La volonté d’encadrement des pratiques médicales par les organisations publiques de remboursement sont sous la coupe des financiers publics ,qui entravent les prescriptions de génériques ex.antibiotiques,et des financiers des compagnies pharmaceutiques qui manœuvrent en permanence pour diffuser leurs nouvelles molécules coûteuses.
Le drame actuel du coronagate illustre parfaitement cette double contrainte.
Geo (vendredi, 23 avril 2021 21:59)
Bonjour.
Étant allergique aux macros
Y a t il une alternative comme les cyclines avec ivermectine ?
Merci
jean claude sagnier (samedi, 24 avril 2021 15:46)
la vérité commence à se montrer et il faudra sans doute régler des comptes à la fin!!!
je me sens concerné car père de deux médecins
Gilles EYNARD (mercredi, 28 avril 2021 17:56)
Bonjour,
Ici s'exprime l'éthique, au dessus de la loi, de la morale, de la déontologie.
Pratiquer son "Autodéfense Intellectuelle" implique parfois de faire de la "Désobéissance civile", surtout en terrain inconnu, incertain, évolutif (comme ici avec la COVID-19), car la "vérité" est aussi évolutive. Dire qu'une information est "fiable" (une information, celle d'un auteur ou d'un organisme) n'indique qu'une fiabilité probable et rarement une certitude absolue.
Le doute et l'erreur sont sources de connaissance.
On pourrait ajouter ici d'autres évènements marquants:
- Quid du Remdesivir, aux USA, avec l'étude de Gilead (en partenariat avec les NIH) obtenant, quasi-immédiatement à sa sortie et malgré une étude contradictoire chinoise, l'autorisation de la FDA pour le Remdesivir, et avec des doses (1,5 millions) offertes par Gilead aux USA?
0,5 millions de doses de Remdesivir ont été commandées (annonce du 08/10/2020) et distribuées par l'Europe, même après que l'OMS ait recommandé de ne plus l'utiliser le 20/11/2020.
Une étude, annoncée par le Pr Raoult, établit encore que le Remdesivir peut contribuer à la génération de variants.
- Quid de cette meta-analyse sur l'Hydroxychloroquine publiée le 22/05/2020 par The Lancet, finalement supprimée le 05/06/2020, ayant quand même réussi à provoquer l'arrêt par l'OMS des essais sur l'Hydroxychloroquine (Solidarity), ainsi que ceux de l'Europe (Discovery)?
- Il paraît juste de relever l'effet de la confrontation sur l'Hydroxychloroquine.
Si les études Solidarity, Discovery, Hycovid n'ont pas fait apparaître d'intérêt marquant pour l'Hydroxychloroquine ou le Remdesivir, elles ont insuffisamment sondé la bithérapie du Pr Raoult (Azithromycine + Hydroxychloroquine).
Alors que la question de l'efficacité des Macrolides s'est posée dès avril avec des résultats dans les soins de médecins, sonder l'efficacité des Macrolides (Clarithromycine, Azithromycine) en association avec l'Ivermectine, manque au questionnement scientifique, aux études, et à la diffusion de protocoles pour soigner et sauver des vies.
Pour exemple la Dr Flavia Groșan, pneumologue roumaine, qui soigne ses patients avec de la Clarithromycine (Macrolide plus efficace que l’Azithromycine) pour réduire l'inflammation, (elle a eu environ 1000 patients de tous âges soignés chez eux avec 100% de réussite). La Dr Flavia Groșan s’est opposée au protocole roumain en ne prescrivant ni Codéine ni Kaletra afin de ne pas bloquer l'expectoration, ni d'oxygénothérapie lourde (2-3L/mn au lieu de 20L) pour éviter qu'un excès d’oxygène conduise à une acidose et des oedèmes cérébraux mortels, et pour éviter une intubation trop souvent mortelle.
Cordialement.
bonneau (samedi, 07 août 2021 22:20)
merci de nous informer et de nous éclairer .
olivier (dimanche, 01 mai 2022 14:55)
Suite
https://www.affaritaliani.it/coronavirus/vaccino-attuale-non-sufficiente-ci-vuole-altro-per-debellare-il-virus-720062.html?refresh_ce
Comment avez-vous compris cela?
Chez Craniomed, nous faisons des recherches sur les protéines. L'absence de goût et d'odeur chez les patients Covid a fait l'objet d'études et nous avons utilisé une méthode très fine, la spectrométrie de masse, pour trouver des protéines anormales, qui interfèrent avec la transmission nerveuse des deux sens mentionnés ci-dessus. Nous avons trouvé de telles protéines anormales dans le sang et l'urine chez les personnes atteintes de COVID-19. Eh bien, nous avons observé les mêmes toxines plusieurs fois chez la même personne mais à chaque fois avec des acides aminés différents et cela nous a fait revenir à un concept de biologie classique: lorsqu'il y a des défauts dans la production d'acides aminés chez la personne, le l'origine du problème est de type bactérienne.
Pouvez-vous expliquer exactement comment la preuve a été obtenue que Sars Cov 2 réplique son ARN dans des bactéries?
J'essaierai de l'expliquer d'une manière simple. Nous l'avons fait en cultivant des bactéries de notre microbiome et du virus. Tout d'abord, nous avons pris l'écouvillon fécal de certains patients atteints de COVID-19 et l'avons cultivé pendant 7,14 et 30 jours, voyant que le virus augmentait la production d'ARN. Ensuite, nous avons pris le virus et l'avons cultivé avec des bactéries provenant de l'écouvillon fécal d'une personne non malade, voyant qu'il se répliquait ici aussi. Enfin, nous avons pris les bactéries de la première expérience et les avons séparées du virus! Nous les avons cultivés seuls et à 30 jours, ils ont continué à produire des virions. Les preuves étaient claires et nous étions incrédules face à ce que nous avons observé.
Quelles conséquences cette découverte a-t-elle sur tout ce qui est fait pour la contenir?
Énorme. Tout d'abord, puisqu'il s'agit également d'un bactériophage, nous devons accepter la preuve qu'il est partout. Il colonise les égouts, les eaux, les mers. Tout (c'est pourquoi il y avait des nouvelles du virus dans la papaye ou dans le frigo, dans les égouts hollandais ou milanais, ndlr). Je ne pense pas qu'il suffise de tout fermer périodiquement sans désinfecter en permanence, comme ils l'ont fait en Chine, les écoles, les lieux publics, les moyens de transport, les rues. La désinfestation périodique doit être effectuée avec des protocoles préétablis et coordonné »
stimbre B (lundi, 02 mai 2022 20:23)
Dès mars 2020 plusieurs médecins d'Ehpad avaient découvert la sérendipité de l'ivermectine en soignant des ''galeux'' constat conforté par l étude de terrain du dr CAvalho en argentine (sur 4 hôpitaux 787 soignants protégés à l'ivermectine -20mg/sem pendant 10 semaines) et 403 non protégés Au bout du compte 0 covidés chez le groupe 787 Mais 58 % de covidés chez les 403 témoins... Conseil aux ordres, Macron, Véran alertés par des médecins ont refusé de protéger la population... Ce sont des criminels qui devront être jugés et emprisonnés pour assassinat !