· 

La maltraitance médicale, une interview UPGCS du Docteur Stéphane Gayet, infectiologue et de Claude Escarguel, microbiologiste

Malades thyroïdiens, Covid longs, Malades de Lyme, fibromyalgiques, ou victimes du SFC, tous narrent sur les forums leur parcours titanesque pour trouver une oreille qui entende leur souffrance et un médecin qui  ne leur assène un " c'est dans votre tête". 

L'analyse du docteur Stéphane Gayet, infectiologue pour l'UPGCS. 

 

En deuxième partie, Claude Escarguel, chercheur en microbiologie, abordera la perte de chance apparentée à de la maltraitance de ces malades de la Covid à qui on n'a prescrit que du doliprane

lettre des  343 salopes et salauds qui ont traité (ou aidé à traiter) leurs malades et qui en ont sauvé 80% des complications à court terme (hospitalisations, réa, décès) et 90%  de celles à long-terme (covid-longs).

 

 Depuis le mois de mars 2020, pour traiter le Sars-Cov-2, 

les médecins de ville se sont scindés en deux catégories :

 

  • Ceux (une minorité : environ 20% ) qui ont continué à traiter leurs malades comme ils en avaient l'habitude face à une « pneumopathie atypique », car il s'agissait étymologiquement d'une véritable pneumopathie atypique. Ils ont administré dès le début des premiers symptômes des antibiotiques de la famille des macrolides (ou des cyclines) avec du Zinc. De tous les coins de France ces médecins ont constaté une chute très importante des hospitalisations, des entrées en réanimation  et des décès. Une étude rétrospective effectuée par le collectif de médecins sur 5000 patients traités montre une chute de la létalité des ces patients traités en ambulatoire précoce : 0,1% au lieu de 2% à l’échelle nationale (Santé France) : soit 20 fois moins de morts !!

 

 Le premier généraliste contacté  avait des résultats surprenants : sur sa première cohorte de malades traités avant l'utilisation d'un macrolide, 32 malades ont été hospitalisés dont 12 décès, puis suite à la prescription d'Azithromycine +Zn,  il n’a eu aucune hospitalisation et aucun décès sur l'ensemble de ses patients traités. Même en sachant que 85% des patients guérissent spontanément, ces résultats ne pouvaient pas laisser des observateurs aguerris indifférents.

 

Nous aussi citerons parmi ces centaines de médecins, avec qui nous collaborons dans le collectif « AZI- THRO-d'hospitalisations », Mr le Dr Branchereau qui a été récemment décoré de la légion d'honneur sur le quota du président de la république et qui déclare : « j'ai continué à traiter dans la première vague comme beaucoup de médecins de l'EST;  Macrolides + Zn et je n'ai eu aucune hospitalisation, aucun décès et surtout aucun covid-long »

 

Si nous n'avions pas regroupé ces centaines de médecins de terrain au sein d'un collectif pour étudier l'impact de leur démarche, certains médecins hospitaliers, les seuls sur lesquels se sont appuyé les autorités sanitaires dans cette épidémie, auraient pu continuer encore longtemps à les traiter « d'apprentis sorciers » ou de « charlatans ». Le problème est que ces hospitaliers, voyant leurs malades trop tard, essentiellement dans la phase inflammatoire, n'étaient pas en situation pour valider une telle approche ambulatoire et n'ont pu qu'aggraver la fracture ville-hôpital.

 

La cerise sur le gâteau du  traitement a été de constater que sur l'ensemble des malades traités seul 1% avaient évolué en covid-longs au lieu des 20% de la moyenne nationale !!!

 

A l'inverse 90%  des malades de l'association UPGCS (malades covid-longs) n'avaient été traités, illustrant par là l'action préventive du traitement ambulatoire précoce TAP (macrolides et/ou Ivermectine) avec ou sans hydroxychloroquine, dans la survenue des covid-longs.

 

Ces médecins regroupés en une Coordination Santé Libre ont été traités de tous les noms d'oiseaux par « Libération » (Apprentis sorciers) par « le Monde » (complotistes), le canard enchainé, etc.,  nous rappelant l'histoire de nos parents : ceux qui se sont opposés en 1940 à Vichy étaient traités de « terroristes » alors que comme nous ils n'étaient que des « résistants » à la Doxa officielle.

 

  • Ceux (80%) qui ont suivi cette Doxa officielle : ne rien faire, prendre du Doliprane et attendre les complications pour rentrer à l’hôpital, et trop souvent ne pas en sortir !!!

Aujourd'hui toutes les publications internationales évoquant le TAP avec un antibiotique actif sur les germes de sur-infection illustrent un gain de plus de 80% de vies sauvées !!

 

 

Voir la publication américaine du président d'honneur  Peter A. McCullough,  (USA)   

du collectif de médecins « AZI-THRO- d'hospitalisations »

 « Pathophysiological Basis and Rationale for Early Outpatient Treatment of SARS-CoV-2 (COVID-19) Infection »

 

Par Claude Escarguel pour l'UPGCS 

Télécharger
Argumentaire en faveur du Traitement ambulatoire précoce
Argumentaire mai 2021.pdf
Document Adobe Acrobat 491.1 KB

Vous attendez une réponse de l'UPGCS, laissez votre mail ou contactez nous à upgcs.direction@gmail.com Merci !

Écrire commentaire

Commentaires: 1
  • #1

    Donzel marina (jeudi, 27 mai 2021 11:20)

    Bonjour
    Mon généraliste ne propose que le Doliprane. Je voudrais changer de médecin. Avez vous connaissance de médecins sur Grenoble qui pratique ce protocole en cas de covid?
    Merci pour votre réponse.
    Condialement
    Marina