La newsletter N°10

• Les procédures judiciaires Levothyrox, vous aider à les comprendre  p 2/3
• Le rôle de certaines bactéries et de leurs toxines  dans le Covid 19 et le Covid long p 4/5/6/7
• SOS Covid long l’impact économique et social de la maladie après 2 ans p 8
• Le courrier des lecteurs- La réponse du D Cosserat p 9/10
• « Post Covid ou Covid long », la terminologie qui doit conditionner , la prise en charge thérapeutique p 11/12
• Rencontre du 3eme type Rencontre avec des Covids longs P13
• Bilan des zooms solidarité et aide administrative p14
• Depuis 2020, nos vies personnelles , sociales, économiques et publiques perturbées par le Covid p15
• Sensibiliser le public, les médecins, les entreprises au covid long p 16/17
• Les actions prévues en 2023 p18
• Les informations pratiques p19

UPGCS, Partenariat Soignants/Patients pour une médecine humaine.

En choisissant cette devise il y a 5 ans, nous ne pensions pas qu’elle prendrait encore plus de sens en 2022 !

• 5 ans à alerter les autorités sur les attentes des patients, sur les déserts médicaux, sur la dégradation du système de santé en général, des hôpitaux en particulier, sur le manque de personnel et de moyens…
• Nous avons joint nos voix à celles qui déploraient la primauté de Big Pharma au détriment de l’intérêt des malades.
• Nous avons interpellé dès la création de l’association sur des choix de productions pharmaceutiques qui nous rendaient otages des laboratoires, des importations de l’étranger !
• Nous avons réclamé le droit d’être entendus, non comme entité mais comme représentants des adhérents, usagers de la santé !

Entendus, acteurs et pas comme faire valoir de décisions unilatérales des autorités.

5 ans de combats sans cesse renouvelés …

2022 arrive à son terme, jamais, les soignants n’ont été autant démotivés : les plans se suivent, élaborés par une Doxa éloignée du vécu de terrain. Les usagers doivent se lancer dans des pérégrinations, pour obtenir un rendez-vous médical mais voient ensuite fleurir des publications officielles qui dénoncent l’augmentation de pathologies lourdes par manque de suivi !  Quelle incohérence !

Et si ? 

Et si on revenait à l’époque du bon sens ?

Si on n’attendait plus d’avoir des études de niveau 4 ou 5  avant de prendre des décisions thérapeutiques ?

Si on écoutait les besoins des malades, des soignants, des étudiants en médecine ? 

Et si  la logique comptable à court terme seule n’était plus de mise ? …

Non, les économies nécessaires ne s’obtiendront pas en réduisant les droits des usagers mais en allégeant certaines procédures et surtout la bureaucratie omniprésente dans les organismes d’Etat…

Nos vœux pour 2023 : plus d’humanité, de compassion, de solidarité dans ce monde de lobbyiste !