Ce jour, Madame la juge du Tribunal administratif de Nantes a prononcé un rejet quant à notre référé liberté portant sur la campagne vaccinale HPV au sein des collèges .
Elle n’a pas entendu les demandes de l’UPGCS et des requérants
- ni sur la nécessité d’une information claire et accessible et non orientée à disposition des parents
- ni sur la nécessité absolue d’un environnement approprié et spécifique à un acte médical pour lequel la notice du vaccin est explicite sur les effets indésirables possibles.
La volonté de l UPGCS reste intacte à faire entendre qu’elle continuera à être vigilante et agira par toutes les voies légales pour que les usagers de la santé aient accès à une information claire, transparente, explicite et immédiate sur tous les actes médicaux qui leur sont proposés.
Par immédiate, nous entendons que toute information soit délivrée sur les supports remis aux usagers sans avoir recours aux ressources numériques.
La mission et les compétences de l’éducation nationale sont dans l’enseignement dû aux élèves, et dans l’environnement scolaire sécurisé, elle n’est pas dans l’organisation, la gestion, d’actes médicaux.
Si les parents font le choix personnel de ce vaccin, le seul cadre sécurisé reste leur médecin traitant, qui connaît et peut donc anticiper les réactions individuelles de l'enfant.
Nous restons fermes sur notre demande de sortir la campagne de vaccination des collèges, selon le principe de précaution.
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Jocelyne Barrillier (mercredi, 22 novembre 2023 21:03)
Toujours des juges aveugles et sourds. Ce soit disant vaccin fait des ravages si les adultes sont conscients et réfléchis ils ignoreront cette injection pour les enfants et eux mêmes ça serait très prudent et réfléchi
Bourguignon (vendredi, 01 décembre 2023 09:38)
Ce vaccin a handicapé ma fille et détruit sa vie