"En préparant le sujet de cette conférence, j' ai pensé : " ouvre ton parapluie, arme-toi d’un bouclier, les coups vont encore tomber". Associer syndrome post infectieux et post vaccinal Covid , c’est tabou, c’est interdit !
Le simple mot Covid est banni actuellement ! Plus à la mode ? Chargé du passif de la gestion sanitaire fortement contestée ?
Pourtant il infecte encore actuellement, et ce d’autant plus que presque personne n’applique les règles de précaution.
Nous ne pouvons que constater cet automne le nombre de (ré)infections ; (ré)infections moins identifiées puisque les tests ne sont plus obligatoires ni pour le retour au travail ni pour le retour en classe.
Certes, les formes graves Covid sont moins fréquentes actuellement, mais à quoi en attribuer l’explication :
- A la protection vaccinale comme le soutiennent les autorités de santé ?
- Aux traitements plus utilisés par les médecins qui sont sortis du
« Doliprane et restez chez vous » ?
- A la mutation du virus comme l’annonçait Didier Raoult en 2020 ?
Cependant, voilà bientôt 5 ans qu' on nie la réalité des conséquences du Covid long, qui touche les personnes quelle que soit la gravité de la forme initiale !
Des médecins continuent à rattacher ce syndrome à une déviance psychologique et ce, malgré la reconnaissance par l’Oms, la cellule Covars et la HAS. Il faudra un jour condamner ce déni, cette maltraitance !
Une vague de négation du Covid long se développe, sur les réseaux dans certains groupes de parole.
Ce mouvement sème le doute sur l’ampleur et l’urgence du Covid long post infectieux, niant le vécu dramatique des malades depuis 2020.
Mais reprendre cette négation du covid long, l’évoquer pour nier les effets post vaccinaux serait là aussi une offense aux victimes.
Les malades qui subissent un covid long, ne veulent plus être utilisés pour ou contre le vaccin.
Les victimes des syndromes post infectieux comme celles du syndrome post vaccinal
ont besoin de reconnaissance, de prises en charge médicales et administratives,
ils ne doivent pas être des enjeux politiques.
L’enjeu de la conférence de ce jour, est de mettre en lumière plus de 2 millions d’adultes victimes d’un Covid long, des milliers d’enfants rarement évoqués, et les 160 700 effets secondaires retenues par l’ANSM.
L’observation des crises sanitaires successives nous enseignent que le nombre réel de victimes se découvre quand l’information est enfin médiatisée.
- Or, combien de personnes épuisées, en brouillard cérébral, avec des crashes inflammatoires post effort, ignorent la cause de leur état. Combien de prescriptions d’antidépresseurs depuis 2020 ?
- Combien de « c’est dans votre tête »?
- Combien de familles détruites , de projets abandonnés, de cursus professionnels avortés?
- Quel est le coût réel de cette crise, quel est le surcoût par manque de prise en charge médicale adaptée ?
- Quand analysera-t-on l’explosion des arrêts de maladie constatée depuis 2021 et attribuée à des arrêts de complaisance en abordant l’éventualité de syndromes post infectieux et post vaccinal ?
- Pôle emploi met en avant un manque de main d’œuvre dans beaucoup de secteurs d’activité, mais sans envisager des choix de carrière plus adapté à des organismes épuisés ? A ce jour, nous n’avons vu que le journal les échos pour reprendre cette éventualité.
Sortir du déni, de l’errance médicale et obtenir des réponses
et des prises en charge adaptées est une urgence criée par les malades !
Depuis 2021, l’UPGCS mène son combat contre le Covid long en associant syndrome post infectieux et post vaccinal. On ne peut plus aujourd'hui nous ranger dans la case du politiquement incorrect puisque les faits sont là et que l'ANSM et l'Omniam elles-mêmes, reconnaissent les victimes des effets secondaires du vaccin.
En créant l’association en 2018, nous avons choisi cette devise
« Partenariat soignants-patients pour une médecine humaine ».
Les objectifs inscrits dans nos statuts sont :
- Représentation de la parole des patients auprès des autorités. Faire valoir les attentes et les besoins des patients victimes ou associations de victimes notamment ceux qui vivent avec des maladies chroniques.
- Défense des droits des patients en justice.Entreprendre des actions utiles à la défense des intérêts des patients ou des soignants par actions citoyennes et/ou juridiques.
- Susciter, accompagner ou mener toutes actions en justice ouvertes par la spécialisation de l’association et/ou par tout agrément qui lui serait conféré.
Devant les millions de femmes, hommes et enfants touchés par la protéine Spike, qu’elle soit infectieuse, vaccinale ou combinée, l’UPGCS se doit d’agir en conformité à ses engagements.
Plusieurs millions de victimes, mal traitées médicalement et maltraitées verbalement, nous ne le répéterons jamais assez pour être entendus, des victimes dont la vie a été chamboulée , dont la vie est rythmée depuis par le handicap, avec toutes ses conséquences familiales, sociales et économiques lourdes qui attendent de sortir du silence médiatique.
C’est pour ces millions de personnes et autour d’elles que nous sommes mobilisés aujourd'hui en partenariat avec l’association #AAVIC Team.
Nous remercions les associations et collectifs qui nous rejoignent ce jour en soutien aux malades à savoir :
- #les Désenfantés
- # Solidekla
- covid long pédiatrique de Bordeaux
- #Collectif action covid 200 Belgique
- Verity
Nous espérons que d’autres associations nous rejoindront à l’avenir pour des actions de sensibilisation communes, parce que seule l’Union nous donnera une réelle force pour mettre en lumière médiatiquement la réalité du vécu des victimes.
1ere partie, les co-présidents de l'association UPGCS
1ere partie :
Annie Notelet, co-présidente de l'UPGCS sur les enjeux de la conférence
Claude Escarguel, co-président de l'UPGCS, microbiologiste, sur " pouvait-on éviter les covids longs ?"
Covid long post infection et effets indésirables du vaccin par Jean-Marc Sabatier
2ème partie : Jean-Marc Sabatier , Covid long et effets indésirables du vaccin
Prise en charge des syndromes post infection et post vaccin par le docteur Eric Menat, médecin homéopathe
3ème partie: Docteur Eric Menat, Toulouse
Approche de santé intégrative par le docteur David Guillaumin de Genève
4ème partie , docteur David Guillaumin, spécialiste en médecine générale, médecine intégrative, micronutrition, naturopathie, phytothérapie, aromathérapie, à Genève
Sama Immunité et Inflammation par le docteur Lucie Wetchoko
5ème partie : Docteur Lucie Wetchoko
Lien vers la vidéo Youtube UPGCS
Témoignages et Interventions des associations partenaires
Ils témoignent de leur vécu quotidien : #Mathieudubois #Macha bout #Marcmerlin
Derrière leurs sourires, se cache la réalité de leur quotidien, bouleversé par la maladie, malgré leur jeunesse, leur tempérament sportif avant d'être touchés par le handicap qui détruit aujourd'hui leur projet de vie.
Mathieu partage son combat au sein de l'association AAVIC TEAM, notamment pour les victimes du syndrome post vaccinal.
Notre présidente leur fait écho, en rappelant le parcours aussi douloureux des malades post infection Covid. Merci à Jean-Marc Sabatier, d'avoir démontré que ces deux symptômes sont bien identiques et issus de la protéine Spike.
Mathieu et Annie rappelle que des enfants sont aussi fortement touchés et déscolarisés, aujourd'hui en situation de handicap. Les associations et collectifs créés par leurs parents, ne cessent de réclamer de la visibilité et des prises en charge adaptées à ces jeunes victimes ! Il faut que l'Education Nationale ouvre une réflexion et un débat avec la communauté scientifique pour adapter l'accueil et l'accessibilité aux élèves en rupture de scolarité à cause de leur absentéisme, qui a amené parfois des situations dramatiques de menaces de retrait de l'autorité parentale !
Il faut intégrer la possibilité de rythmes individualisés, adaptés aux malades chroniques
tant dans la scolarité que dans le retour à l'emploi !
Marc Merlin présente des images surprenantes des modifications sanguines, observées au microscope, depuis sa pathologie
Ensuite, on écoutera l'association #Solidekla qui propose son aide pour les déclarations en pharmacovigilance, absoluement primordiale pour les victimes des effets secondaires des médicaments et des vaccins.
Puis vient le temps des remerciements, pour cette journée, riches d'émotions, de partages d'informations, de science, de prises en charge thérapeutiques, d'engagements associatifs.
Merci à vous tous, qui nous avez rejoints pour cette conférence
Merci de votre intérêt, de vos soutiens, de vos remerciements qui nous ont fait chaud au coeur.
Grâce à vous, les syndromes post infection et post vaccin ont acquis en visibilité. Nous savons que demain, si vous croisez une personne qui se plaint d'une modification de son état de santé, majeure depuis quelques temps, sans diagnostic mis en place par ses consultations médicales récentes, vous pourrez peut-être l'orienter vers les associations concernées.
Merci à vous qui avez compris que nos plaintes ne sont pas psychologiques et sont expliquées scientifiquement !
Merci à vous qui ferez le chemin à nos côtés dans notre combat !
Merci à vous qui avez compris que les associations oeuvrent pour les malades mais que sans vous rien n'est possible !
Soutenir une association c'est agir conformément à ses objectifs !
C'est choisir la société où on est désireux de vivre
Vous pouvez agir avec nous en adhérant :
https://www.upgcs.org/adh%C3%A9rer-faire-un-don/
Vous pouvez aussi le faire grâce aux goodies disponibles dans notre petite boutique : https://www.upgcs.org/la-petite-boutique-upgcs/
Après la belle rencontre du 26 octobre à Toulon, nous espérons rester en contact avec vous !
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