En réponse à plusieurs articles parus dans la presse depuis 48 heures, le pharmacologue Amine Umlil, expert auprès de l'UPGCS, lance ce jour une alerte sur le vaccin Gardasyl, en réponse aux 50 sociétés savantes qui appellent à une vaccination universelle chez les filles et les garçons.
Nous avions déjà publié en février l'article du Docteur Bapt, qui comme Amine Umlil, démontrait le danger de ce vaccin.
La DGS a demandé à l'HAS une fiche d'information pour les malades thyroïdiens, avec la collaboration des deux associations VST et AFMT.
Serait-ce un début d'écoute des demandes des malades et de réponses à leur questions ?
Restons optimistes en l'espérant et actifs en présentant des demandes argumentées et justifiées,
C'est par le sérieux et la rigueur de nos actions que nous obtiendrons que les patients soient considérés comme acteurs de leur santé
Le Grand débat semblait vouloir exclure la Santé, des médecins, des soignants ont exprimé leur indignation. L'UPGCS, soutenue par des sénateurs et députés des hauts de France, ont remis ce samedi leur réflexion sur la Santé et le cahier de Doléances des malades thyroïdiens
Grosse déception de toutes les victimes après les décisions du TI et du TGI de Lyon la semaine dernière.
Cependant, ces actions ont remis à l'avant de l'actualité une crise sanitaire consécutive à la mise en place du Le othyrox Nouvelle Formule que le laboratoire Merck et L'ANSM souhaiteraient étouffer.
Puisque le Juge Civil ne veut pas entendre les victimes dans la crise sanitaire du LEVOTHYROX, face à ce mur que représentent les laboratoires Merck et l'ANSM qui s'épaulent pour réfuter la gravité de ce scandale, deux associations font le choix d'allier leurs forces pour se porter Partie Civile au Pénal
Plus de 4000 plaignants attendent ce mardi 5 mars l'issue du référé qu'ils ont déposé avec Maître Leguevaques dans l'affaire Levothyrox. Parallèlement, l'association Vivre sans Thyroïde doit se voir notifier la décision du référè-expertise demandant des informations détaillées sur le médicament et une expertise indépendante
La meilleure stratégie pour éviter la survenue des effets secondaires des IPP prescrits au long cours chez les nourrissons, est d'éviter de les ordonner quand ils ne sont pas indiqués et de les conseiller à la dose minimale efficace lorsqu'ils sont nécessaires!