Faire faire des économies à la CPAM de l'ordre de 30 à 60% en acceptant d'opter pour les médicaments génériques plutôt que pour les médicaments princeps serait il illusoire ? Nous avons pris un exemple au hasard sur un anti HTA. Démonstration...
Les associations seront présentes à la commission d'encadrement pour organiser l'arrêt de l'Euthyrox en France. Cette présence n'est nullement une acceptation, mais la seule façon d'agir pour que les malades ayant choisi de rester sous cette formule, soient entendus et que des réponses soient données aux interrogations des victimes.
Analyser la structure d'une crise sanitaire,quand elle fait l'objet d'un procès comme celui en cours pour le Médiator c'est prendre en compte le rôle de toutes les instances. Nous ne pouvons lire le déroulement de ce procès sans anticiper sur celui à venir du Levothyrox.
Naturellement, nous pensons après la responsabilité évidente du laboratoire à celle de l'ANSM qui a accordé l'AMM à la Nouvelle Formule.
Cependant, il est un rôle moins connu celui du Conseil d'Etat
32 mois depuis l'arrivée de la Nouvelle Formule du Levothyrox, pourtant ce scandale est toujours dans l'actualité médiatique et dans celle des librairies avec la parution de plusieurs livres sur le sujet.
La disparition prochaine de l'euthyrox au lactose alimente aussi très justement les commentaires sur les réseaux sociaux, beaucoup de malades étant attachés à cette formule au lactose que le laboratoire Merck refuse de continuer à produire, se justifiant des recommandations de l'ANSM.
La santé et l'écologie sont étroitement liées. Alors que manger local, bio permet d'avoir une traçabilité de ce que nous consommons et en prime, cela créé du lien. Pesticides et perturbateurs endocriniens sont utilisés de façon récurrente, salissant produits de la terre et la terre elle-même
le 1er octobre 2018, "le Parisien" nous apprenait que 108 personnalités avaient adressé un appel au Président de la République E. Macron, rejointes par Collectif Inter-hôpitaux (rassemblant médecins, autres personnels hospitaliers et usagers). Où en sommes nous un an après ?