Si l'affaire Levothyrox peut paraître oubliée, c'est qu'elle est dans la phase d'enquête au Parquet de Marseille où l'instruction poursuit son cours, loin des feux médiatiques.
Ne pouvant auditionner les 2516 parties civiles constituées et les 10 000 personnes ayant déposé une plainte ( du jamais vu dans l'histoire de la Justice), les juges en charge du dossier Mme ROCHE et Mme BLOCH, ont décidé d'auditionner les présidentes des associations d'usagers.
Victimes de complications au long cours Covid, outre l'épuisement, la fatigue, les symptômes récurrents, multiples et douloureux, c'est aussi à la découverte des contraintes administratives pour les jeunes actifs qui ignoraient la maladie avant ce printemps 2020.
Depuis , incapables de reprendre leur vie professionnelle, ils découvrent les tracas de la reconnaissance de leur pathologie. Dan, membre du CA, nous explique comment il a bénéficié d'une prise en charge en ALD.
Depuis le début de l'épidémie Covid-19, trop d'informations contradictoires, trop de décisions nous semblent à tous abusives. Nous avons le droit à des réponses en toute transparence.
C'est pourquoi, plusieurs associations dont l'UPGCS et des citoyens présentent un référé-probatoire dans le cadre d’une class action.
Seront abordés dans ce référé questionnement, le problème des masques, les choix thérapeutiques ou tri des malades et le lourd débat sur l'utilisation du Rivotril.
Un témoignage parmi tant d'autres, d'une jeune sportive, qui subit depuis plus de 8 mois, un Covid-19 Long . Combien sont-ils en France, où aucune statistique n'est disponible, à ne plus vivre leur quotidien sans souffrances, combien de jeunes actifs qui attendent sans statut, sans prise en charge médicale, ni financière, parce que cette vérité dérange : la dangerosité du Covid ne se compte pas uniquement en tests positifs, en lits d’hôpitaux ou en décès mais aussi en invalides temporaires ?
Dernier aspect de notre conférence du 25/10 , mais non des moindres puisqu'il aborde les conséquences post infection appelées Covid au long cours. Une conférence de l' OMS sonne l'alarme sur les cas fréquents de dommages durables sur la santé des survivants du Covid-19, de tous les âges, y compris ceux qui n'ont connu qu'un léger épisode initial de la maladie.
Cette première approche d'observation des covid longs sera complétées prochainement par les prises en charge thérapeutiques souhaitables
Auteure de ce témoignage de victime d'un Covid au long cours, Annabelle Georges nous livre avec cœur et émotion son parcours de plus de 5 mois de souffrances.
Dynamique, sportive, sans problème de santé,elle a découvert un virus dont nos autorités le disaient dangereux uniquement pour les personnes fragiles.
Elle nous entraîne dans une réalité peu abordée par les médias, celle du quotidien de milliers de victimes qui ont amené l'OMS a lancé une alerte mondiale !
Coût d'une vie en confinant : 6.000.000 d'euros selon l'économiste Patrick Arthus(6M)
Coût d'une vie en étant traité par votre médecin de ville (Azithromycine +Zn ) : 6 euros
C'est le combat de Claude Escarguel, microbiologist, PhD, porte parole du collectif “AZI-THR d'hospitalisations” qui avec un collectif de nombreux médecins, soutient et démontre que l'utilisation de l'antibiothérapie au jour 1 de l'infection, sauvera des vies et l'économie.
Dans l'infection au virus Covid-19, les malades relatent souvent des formes digestives qui peuvent perdurer au delà des épisodes de fièvre ou de toux. Là aussi, il était prévisible que le doliprane recommandé par les conseils scientifiques, soit peu actif sur ces formes particulières. Le Docteur Guy Bellaïche, Chef de service Hépato-Gastro-Entérologie à l’hôpital Robert Ballanger, d'Aulnay sous Bois, nous a livré ses études et les traitements mis en place lors de la première vague.
« Ce qui est clair, c'est que ce n'est pas seulement un virus qui tue. Pour un nombre important de patients, ce virus a de graves effets à long terme »
L'UPGCS informait dans ce sens depuis plusieurs mois, réclamant que l'épidémie Covid-19 ne soit pas observée uniquement au travers des statistiques des décès enregistrés qui étaient déjà autant de drames humains. C'est maintenant l'OMS qui alerte au niveau international sur les complications au long cours invalidantes.
Comprendre comment fonctionne ce virus pour mieux le combattre, c'est l'objectif de l'UPGCS depuis janvier.
L'explosion du nombre de cas depuis septembre, les témoignages des victimes de complications au long cours, ont déclenché ce besoin de réunir en conférence des médecins hospitaliers, libéraux et des biologistes, afin qu'ils confrontent leurs expérience de terrain dans la lutte Covid.
Leurs travaux mettent en évidence la nécessité de traiter tôt et efficacement dès le début des symptômes.